Le combat du Mouvement du 20 février pour un Maroc nouveau, un Maroc des droits de l'Homme, des libertés, de la dignité et de la justice sociale continue et ne connait pas de trêve. Depuis ses débuts en Février 2011 comme étant une forme locale du processus révolutionnaire dans les pays du Maghreb et du Mashrek, les actions et manifestations du Mouvement du 20 février ne cessent, en effet, de se multiplier et de s'étendre, touchant par ainsi plusieurs centaines de villes et de villages au Maroc.
Le Mouvement Marocain du 20 Février Paris/Ile-de-France s'inscrit dans cette même dynamique et ne cesse de relayer les aspirations politiques d'émancipation du peuple marocain dans l'espace politique de la région Ile-de-France.
Après le passage en force de la monarchie marocaine pour imposer une constitution illégitime dont la teneur reste absolutiste, le pouvoir au Maroc est en train de fomenter, avec le même entêtement arrogant habituel, un semblant démocratique d'élections législatives dans lequel seul adhère le même corps désuet des élites politiques intrinsèquement liées au pouvoir; fourvoyant par ainsi la vrai question d'un véritable changement démocratique et social.
Tandis que, là où en profondeur de la vie quotidienne du peuple marocain gronde une authentique aspiration à une vraie démocratie, l'Etat marocain demeure conséquent avec sa véritable nature absolutiste et répressive. C'est le cas récent du décès du militant Mohamed Boudaroua, membre de la Coordination du Mouvement du 20 février de la ville de Safi, militant de l'Association Marocaine des Droits Humains et militant de la section locale des enchomés marocains, lâchement tué par la police marocaine en plein milieu de la nuit alors qu'il occupait, lui et d'autres militants, les locaux de l'ANAPEC. Par cette triste nouvelle, notre regretté Mohamed Boudaroua rejoint les autres militants tombés pour l'espoir d'un autre Maroc démocratique et libre : Kamal Ammari (Safi) et Karim Chaib (Sefrou), décédés suite à la torture physique, ainsi que les cinq jeunes militant d'Al-Hoceima dont les conditions de leur décès restent plus qu'ambigües.
Notre indignation est plus que jamais vive. C'est pourquoi nous appelons, nous le Mouvement Marocain du 20 Février Paris/IDF, dans le cadre de l'appel national des coordinations du mouvement du 20 février au Maroc, à manifester devant l'ambassade du Maroc à Paris, le dimanche 23 octobre et ce pour exprimer notre indignation quant à cet assassinat de la belle jeunesse marocaine, et pour le soutien de la lutte du peuple marocain pour ses revendications démocratiques et sociales légitimes.
Le Mouvement Marocain du 20 Février Paris/Ile-de-France appelle à manifester le dimanche 23 octobre 2011 à Paris
Départ : Parvis des droits de l'Homme (Trocadéro) à 15h
Arrivée : Ambassade du Maroc (rue le Tasse Paris 16ème)
Venez nombreux soutenir le Mouvement Marocain du 20 février dans son combat pour la dignité, la liberté, la démocratie et la justice sociale
Le Mouvement Marocain du 20 Février Paris/Ile-de-France s'inscrit dans cette même dynamique et ne cesse de relayer les aspirations politiques d'émancipation du peuple marocain dans l'espace politique de la région Ile-de-France.
Après le passage en force de la monarchie marocaine pour imposer une constitution illégitime dont la teneur reste absolutiste, le pouvoir au Maroc est en train de fomenter, avec le même entêtement arrogant habituel, un semblant démocratique d'élections législatives dans lequel seul adhère le même corps désuet des élites politiques intrinsèquement liées au pouvoir; fourvoyant par ainsi la vrai question d'un véritable changement démocratique et social.
Tandis que, là où en profondeur de la vie quotidienne du peuple marocain gronde une authentique aspiration à une vraie démocratie, l'Etat marocain demeure conséquent avec sa véritable nature absolutiste et répressive. C'est le cas récent du décès du militant Mohamed Boudaroua, membre de la Coordination du Mouvement du 20 février de la ville de Safi, militant de l'Association Marocaine des Droits Humains et militant de la section locale des enchomés marocains, lâchement tué par la police marocaine en plein milieu de la nuit alors qu'il occupait, lui et d'autres militants, les locaux de l'ANAPEC. Par cette triste nouvelle, notre regretté Mohamed Boudaroua rejoint les autres militants tombés pour l'espoir d'un autre Maroc démocratique et libre : Kamal Ammari (Safi) et Karim Chaib (Sefrou), décédés suite à la torture physique, ainsi que les cinq jeunes militant d'Al-Hoceima dont les conditions de leur décès restent plus qu'ambigües.
Notre indignation est plus que jamais vive. C'est pourquoi nous appelons, nous le Mouvement Marocain du 20 Février Paris/IDF, dans le cadre de l'appel national des coordinations du mouvement du 20 février au Maroc, à manifester devant l'ambassade du Maroc à Paris, le dimanche 23 octobre et ce pour exprimer notre indignation quant à cet assassinat de la belle jeunesse marocaine, et pour le soutien de la lutte du peuple marocain pour ses revendications démocratiques et sociales légitimes.
Le Mouvement Marocain du 20 Février Paris/Ile-de-France appelle à manifester le dimanche 23 octobre 2011 à Paris
Départ : Parvis des droits de l'Homme (Trocadéro) à 15h
Arrivée : Ambassade du Maroc (rue le Tasse Paris 16ème)
Venez nombreux soutenir le Mouvement Marocain du 20 février dans son combat pour la dignité, la liberté, la démocratie et la justice sociale